MON APPROCHE
LES COMPOSANTS MAJEURS DE LA RENTABILITÉ
QUE NOUS TRAVAILLONS AVEC VOUS !
LE SOL
Sa structure conditionne les pratiques culturales et sa capacité à stocker l’eau.
Sa vie biologique détermine la nutrition des plantes, sa capacité à se regénérer à limiter son érosion.
Sa composition chimique est déterminante pour le bon développement et la nutrition des plantes. Elle détermine le potentiel de rendement des espèces cultivées.
LA PRODUCTION FOURRAGÈRE
Le choix des cultures détermine votre potentiel à valoriser vos surfaces disponibles.
Il oriente également la masse produite en énergie et en protéine sur votre exploitation.
Les pratiques culturales vont orienter vos dates et potentiels de récoltes. Elles déterminent également la valeur nutritive de vos fourrages.
Les dates et modes de récolte conditionnent le profil de conservation des fourrages.
La santé digestive de vos animaux en est directement impactée.
LE STOCKAGE DES ALIMENTS
Il est déterminant dans la préservation des qualités sanitaires et nutritionnelles de vos fourrages.
Il détermine de taux de pertes entre le fourrage récolté et le fourrage consommé par les animaux.
Ce taux de perte est très variable allant de 4 à 28 % selon les situations.
Il détermine l’appétence de vos fourrages et conditionne directement la quantité de matière sèche ingérée par animal et par jour.
Il peut modifier les profils organoleptiques et technologiques du lait ou de la viande destinés au process de transformations.
LA DISPONIBILITÉ ET LA QUALITÉ DE L'EAU
Les profils chimiques, bactériologiques et dynamiques de l'eau s'avèrent déterminants en production végétales et animales. Elle contribue également à la maîtrise de l'hygiène des installations à usages agricoles (Traites, D.A.L., etc...).
Elle a un pouvoir hydratant et permet de réguler les fonctions vitales de tous les êtres vivants.
Sa capacité d’échange est capitale pour le transfert des macromolécules et le développement microbiologiques nécessaire à la vie.
Elle constitue à plus de 80% la composition des êtres organiques.
LA NUTRITION
C’est l’art de combiner et de concevoir la recette alimentaire !
Le nutritionniste se doit de mettre à disposition des animaux une couverture alimentaire adaptée. Cet enjeu concerne les phases productives et improductives tout au long de la vie de l'animal :
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Phase lactée du jeune veau.
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Phase de croissance jusqu’à la puberté.
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Phase de mise à la reproduction.
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Phase de préparation à la mise bas.
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Phase de lactation.
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Phase d’engraissement.
L’enjeu est de maîtriser la rentabilité journalière afin d'atteindre des marges brutes les plus élevées possibles (Marge Brute sur Coûts Alimentaires).
Le contrôle de l’efficacité alimentaire (rapport entre l’ingéré et le produit) est l’indicateur technique qui conditionne nos ajustements et choix nutritionnels.
Ce paramètre détermine avec un coefficient de corrélation très élevé +0.59 (étude NC3 2013), la rentabilité globale des cheptels.
LE CONFORT DES ANIMAUX
Il détermine l’expression du plein potentiel de production et conditionne les points suivants :
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Le comportement des animaux.
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La valorisation de l’ingéré.
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Le niveau de croissance et de production.
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L’aptitude à se reproduire.
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Le niveau de lésions et pathologies traumatiques.
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L’état sanitaire, le risque bactérien et infectieux.
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La longévité et la carrière.
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Le coût de renouvellement de l’élevage.
Le qualité du couchage, la luminosité, la régulation de la température corporelle, les conditions de traites et l’accès à l’auge sont les aspects qui ne doivent nullement être négligés.
LE MANAGEMENT
L’éleveur est le chef d’orchestre de son élevage.
Il doit connaitre son programme, ses partitions, ses enchainements.
Il doit savoir où il va et à quel moment il faut intervenir.
L’improvisation est parfois nécessaire mais elle doit être exceptionnelle.
Les actions sont pensées dans leurs détails et réfléchies à l’avance.
Les points essentiels à travailler sont :
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Gestion de la main d’œuvre et des associés.
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Mise en place des procédures de travail. Il faut être répétable et remplaçable.
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L’organisation pratique des installations. Il faut réduire la pénibilité et la perte de temps au travail.
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Il est important de s’entourer de bons conseillers et de bons fournisseurs. Cela évite les pertes économiques liées aux erreurs de positions voire aux ruptures.
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Il faut avoir des outils synthétiques pour la prise de décisions.
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Logiciels, carnets d’enregistrements, outils de détections, outils de contrôles.
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Attention à ne pas se noyer dans un excès technologique.
Trop de gestion peut parfois tuer la gestion.
Le chef d’orchestre peut s’y perdre !
L'ENVIRONNEMENT
Il y a plusieurs niveaux environnementaux qui impactent la rentabilité des exploitations :
1er niveau : L’environnement climatique.
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Les conditions climatiques ont un impact direct sur la productivité et sur la santé des cultures et des animaux.
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Les conditions thermiques et hygromètriques élevées peuvent occasionner des troubles importants sur les métabolismes.
2eme niveau : L’environnement social.
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Il détermine la disponibilité en main d’œuvre qualifiée nécessaire au fonctionnement de l’entreprise.
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Il est conditionné par les attentes des populations proches et les besoins des consommateurs.
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L’exploitation est un outil productif au service des populations.
3eme niveau : L’environnement réglementaire.
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Il faut s’adapter aux exigences des cadres politiques généralement définis par la PAC, un cahier des charges ou une démarche qualité (A.O.P, A.O.C., etc...).
4eme niveau: L’environnement des marchés.
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L’élevage doit prendre en compte les évolutions des marchés auprès de ses fournisseurs mais aussi de ses acheteurs transformateurs.
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